La pandémie de la panique expliquée le plus simplement possible

© Ivor Cummins

Source https://www.youtube.com/watch?v=QsRCmhjtekE

Le grand moteur de la pandémie de panique

Beaucoup s’interrogent sur ce qui se passe en ce moment. Voici le diagramme de base : nous avons d’abord cette terreur répandue dans le public et qui est totalement hors de proportion face au danger réel. Les politiques conduisent ce « grand moteur de terreur » en suscitant la peur dans le public. Les médias conduisent aussi ce moteur. Ils suscitent, quant à eux, une terreur bien plus énorme encore dans l’opinion publique, mais aussi chez les politiques eux-mêmes. Ces derniers, en effet, sont également terrifiés. Et — parce que la population est de plus en plus terrifiée — l’opinion publique va renvoyer aux médias un feedback de peur, de telle sorte que ceux-ci vont pouvoir nourrir davantage encore la peur dans la population comme chez les politiques. Cette peur qui a envahi la population va de son côté renvoyer un feedback auprès des politiques. Il leur sera réclamé du même coup d’établir davantage de mesures de protection. Les politiques vont donc mettre en place davantage de mesures draconiennes ce qui va produire toujours davantage de peur dans le public. Et donc renvoyer toujours plus de feedback de peur vers les médias et les politiques.

La boucle de rétroaction qui alimente la terreur

N’importe quel ingénieur comprendra que nous avons ici une boucle de rétroaction, autrement dit un cercle vicieux alimenté par le feedback de la terreur… Ce cercle vicieux va se mettre à tourner de plus en plus fort, sans pouvoir s’arrêter. Voilà ce qui crée l’énorme moteur de la pandémie de panique à laquelle nous assistons. Cette machine infernale est totalement disproportionnée avec le taux de létalité du COVID ou avec son impact réel. Le COVID est bel et bien une vilaine grippe, mais cette boucle de rétroaction de terreur constitue clairement une psychose.

Les « experts »

Cependant ce moteur, bien que puissant, a besoin de carburant et d’entretien pour continuer de tourner. C’est ici qu’interviennent les « experts » scientifiques, tel que Neil Ferguson, qui conseillent les gouvernements. Ils ont instillé la terreur autant chez les politiques que chez les médias. Et ils continuent de nourrir le sentiment de terreur au sein de l’opinion publique pour que le gros moteur de panique continue de tourner. Ils y parviennent très bien.

Le petit moteur de la pandémie de panique…

Cependant ces personnages n’agissent pas tout seul, loin de là. Il faut donc considérer maintenant le « petit moteur » de la pandémie de panique. Nous avons notamment Xi Jinping et son PCC. Ce sont eux qui ont démarré le processus de terreur, tout au début. Puis nous avons les responsables de l’OMS qui instillent constamment la peur dans le public. Nous avons aussi le Forum Économique Mondial de Klaus Schwab dont vous n’avez peut-être pas entendu parler, mais dont vous pouvez lire le livre COVID 19 : La Grande réinitialisation. Croyez-moi, après, il vous faudra un remontant. On peut y lire que « certains leaders industriels et CEO pourraient être tentés, lorsqu’ils y seront confrontés, de confondre réinitialisation et redémarrage. Ils nourriront l’espoir de retourner à notre “Ancien normal” et à ce qui fonctionnait dans le passé : aux traditions, aux procédés éprouvés comme aux méthodes familières — en somme un retour au “business as usual”. Cela ne se produira pas parce que cela ne peut pas se produire. Au minimum, “business as usual” est mort ou a été infecté par le COVID ». Selon le WEF : « la pandémie offre une fenêtre rare mais étroite de réfléchir sur notre monde, de le réinventer et de le réinitialiser. Cette Grande réinitialisation demandera des gouvernements plus forts, ainsi qu’un engagement constant du secteur privé. »

…avec de nombreux acteurs très puissants

On n’oubliera pas non plus la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, l’industrie pharmaceutique (qui met tout son poids dans la bataille), ni le FMI… et tant d’autres organisations internationales surpuissantes telles que les GAFAM, la finance internationale, l’industrie informatique et téléphonique, l’industrie de l’ingénierie technologique de pointe (comme Siemens), ou encore les multinationales des services et en particulier l’industrie du Big Data avec ses fabricants de progiciels de gestion intégrés (IBM, SAP, Oracle, Palantir, etc.). Ces entités ne sont pas élues. Elles n’ont rien de démocratiques. Mais elles possèdent d’énormes leviers de pouvoir. Comment sont-elles toutes connectées les unes aux autres et collaborent-elles entre elles ? C’est facile à deviner mais assez complexe à décrire en détail. Quoi qu’il en soit, c’est tout cet ensemble qui constitue le petit moteur de la pandémie de panique. Si d’une manière ou d’une autre on parvenait à s’occuper de ce « petit moteur », le grand s’essoufflerait. Est-ce seulement possible ? En attendant, nous pouvons au moins comprendre, et essayer de faire comprendre autour de nous, pourquoi nous sommes plongés dans cette pandémie de panique.